Le Serpent Tigre Connu
Un ou deux autres serpents dont il faut se méfier sont les serpents tigres. S’il y a une créature à craindre, c’est celle qui porte non pas un, mais bien deux noms surprenants. Les tigres et les serpents sont suffisamment déconcertants, si bien que la possibilité d’un serpent tigre est une étape très importante pour certains. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une sorte de moitié-moitié bizarre entre un grand félin et un serpent, le serpent chat à rayures sombres est en tout cas incroyablement périlleux. Localisé dans le sud de l’Australie et en Tasmanie, ce serpent ne tue pas seulement avec ses toxines, mais avec une combinaison de toxines, de neurotoxines (qui influencent l’esprit), de coagulants (qui rendent le sang épais et compact) et de différents types de poisons.
Bien qu’il ne tonnerre pas comme un tigre, ce n’est incontestablement pas une créature avec laquelle vous devez passer du temps. La morsure d’un serpent tigre, qui représente environ 17 % des décès par morsure de serpent (de véritables morsures de serpent, pas les boissons que l’on trouve systématiquement dans les bars d’étudiants) en Australie, commence par des tourments et des frissons dans la bouche. le site de la morsure (normalement le pied ou la jambe inférieure). Puis, rapidement, on transpire abondamment, on a du mal à respirer et la perte de mouvement s’installe. Vous devez simplement espérer que quelqu’un se trouve à proximité avec le bon antidote.
Le Portugais Man O’War
Ce Man O’War portugais ressemble à une jolie méduse posée sur le rivage de la mer, mais il s’agit en réalité d’un siphonophore – un animal qui n’est pas solitaire, loin de là, mais plutôt une province d’êtres vivants, tous coopérant. Les siphonophores sont des chasseurs qui se nourrissent, comme les méduses, en drapant dans l’eau des bras qui piquent et tuent les petits charognards et les poissons.
Tout ce qui est à portée de main doit être fait pour rester à l’écart du Man O’War portugais, car il existe un réel danger d’issue lamentable en cas d’expérience inattendue. Cette bête dérivante effectue des piqûres agonisantes avec ses longs appendices, ses assauts nocifs sont terribles, et ses victimes sont terrassées
Les personnes qui en sont atteintes présentent des signes comme ceux d’une réaction d’hypersensibilité extrême, notamment une dilatation du larynx, des troubles cardiaques, de la fièvre, un choc et, dans certains cas, la mort. Après avoir distribué d’effrayantes zébrures rouges, le mangeur de viande Man O’War s’enfuit, laissant derrière lui chaos et massacre. Près de 10 000 individus sont dévorés chaque fin de printemps rien qu’en Australie, et la présence d’un siphonophore dans l’eau suffit à provoquer l’arrêt des activités sur le littoral et une vaste frénésie.